UneentrĂ©e, une cuisine ouverte sur sĂ©jour, chambre(s), une salle de bain, un WC, une terrasse. Surface : Ă  partir de 45mÂČ. Loyer : Ă  partir de 330 € CC. Pas de frais d’agence. Disponible en novembre/dĂ©cembre 2021 Merci de dĂ©poser un dossier de demande de logement social Ă  partir de notre site : toitdegascogne.fr Lescandidatures pour chaque appartement vacant ou dont le prĂ©avis a Ă©tĂ© donnĂ© par le locataire sont examinĂ©es par la commission d'attribution d’Un Toit pour Tous qui, qui dans le respect de la charte d’attribution dĂ©cide ou non d’attribuer les logements aux candidats sĂ©lectionnĂ©s. Cette dĂ©cision prend en compte plusieurs critĂšres et indicateurs : Connectezvous pour votre visualiser ce numero de tĂ©lĂ©phone. Sabrina R. (42 ans) Cherche un logement Ă  Île-de-France, France. Vous pourrez contacter Sabrina R. aprĂšs vous ĂȘtes connectĂ© Ă  votre compte. Sa description. Maman de 2 enfants (14 et 8 ans) je recherche une maison avec jardin afin que mes enfants puisse profiter. J’ai Ă©galement 2 chiens. Les services proposĂ©s. cash. Lancement de l'appel Ă  propositions "Un toit pour tous en Outre-mer" PubliĂ© le Lundi 05 Juillet 2021 Ă  19H12 / ActualisĂ© le Lundi 05 Juillet 2021 Ă  19H27 Le ministĂšre des Outre-mer et le ministĂšre charge du Logement lancent conjointement ce 5 juillet 2021, l'appel a propositions " un toit pour tous en outre-mer " totem. Cet appel Ă  propositions, portĂ© par le Plan Urbanisme Construction et Architecture PUCA, constitue la mise en oeuvre de la mesure du Plan Logement outre-mer 2019-2022 visant Ă  financer par la Ligne BudgĂ©taire Unique LBU un appel Ă  projet spĂ©cifique de constructions de type " modulaires " Ă  un niveau concurrentiel avec l'habitat informel en termes de coĂ»ts et de dĂ©lais de production. Nous publions le communiquĂ© ci-dessous Photo d'illustration rb/ Le ministĂšre des Outre-mer et le ministĂšre charge du Logement lancent conjointement ce 5 juillet 2021, l'appel a propositions " un toit pour tous en outre-mer " totem. Cet appel Ă  propositions, portĂ© par le Plan Urbanisme Construction et Architecture PUCA, constitue la mise en oeuvre de la mesure du Plan Logement outre-mer 2019-2022 visant Ă  financer par la Ligne BudgĂ©taire Unique LBU un appel Ă  projet spĂ©cifique de constructions de type " modulaires " Ă  un niveau concurrentiel avec l'habitat informel en termes de coĂ»ts et de dĂ©lais de production. Nous publions le communiquĂ© ci-dessous Photo d'illustration rb/ Le dĂ©veloppement d’une offre de logement Ă  un coĂ»t accessible pour les plus dĂ©munis, de qualitĂ©, constitue un enjeu majeur pour permettre la rĂ©sorption de l’habitat indigne, potentiellement dangereux pour les populations concernĂ©es et la plupart du temps nĂ©faste Ă  l’environnement, qui s’est dĂ©veloppĂ© en particulier dans les territoires de Guyane et Mayotte. L’appel Ă  proposition pourra s’appuyer sur un nouveau dispositif de financement du logement trĂšs social dont il permettra d’en expĂ©rimenter la mise en Ɠuvre. L’appel Ă  proposition s’adresse Ă  des groupements de maĂźtres d’Ɠuvre, d’entreprises de construction ou fabricants industriels, de bureaux d’ingĂ©nierie et, si possible, de maĂźtres d’ouvrage. Les groupements ont jusqu’au 15 octobre 2021 pour s’inscrire et dĂ©poser leur candidature, en sĂ©lectionnant le territoire sur lequel ils souhaitent prĂ©senter une proposition Mayotte ou Guyane, sur ce site. Le jury de sĂ©lection des candidatures se tiendra le 9 novembre 2021. Les candidats admis Ă  remettre une proposition au nombre de huit maximum par territoire auront jusqu’au 25 fĂ©vrier 2022 pour dĂ©poser celle-ci sur le site de la consultation. Renseignements et contact [email protected] Nos actionsUn soutien pour vos recherches liĂ©es au logementAide aux locataires en difficultĂ©sVous rencontrez des difficultĂ©s financiĂšres temporaires, des loyers impayĂ©s, vous redoutez le passage d'un huissier, une assignation au tribunal ou un risque d'expulsion ? ​ N'attendez pas ! En lien avec les assistances sociales, Un toit pour Tous vous informe sur les dispositifs existants pour rĂ©tablir votre au tribunalUn Toit Pour Tous vous accompagne au tribunal d'instance juge des loyers pour vous aider Ă  rester chez vous. Notre association peut aussi vous aider dans vos dĂ©marches devant les de la dette liĂ©e au logement​Pourquoi ? Ne pas en rester au dĂ©compte du bailleur Clarifier la situation pour le locataire Parvenir Ă  un chiffrage trĂšs prĂ©cis pour le juge Droit au logement opposableLa loi du 5 mars 2007 institue un droit au logement ou à l’hébergement pour les personnes qui ne peuvent y accéder par leurs propres moyens. Ce droit est dit opposable, c’est-à- dire que le citoyen peut demander à une commission de reconnaître son droit DALO ou DAHO en déposant un recours amiable. ​ L'association vous accompagne dans votre demande et vous simplifie les dĂ©marches. Les rĂ©sidences Ă©tudiantes dĂ©bordent. Les logements Ă  louer s’envolent aussitĂŽt affichĂ©s sur le marchĂ©. Couvents, hĂŽtels, rĂ©sidences pour aĂźnĂ©s aucune solution n’est Ă©cartĂ©e pour trouver un toit aux Ă©tudiants Ă  quelques semaines de la rentrĂ©e. Les logements partent plus vite que jamais » Des appels, je n’en pouvais plus. Ça pleurait au tĂ©lĂ©phone. Les gens me suppliaient de les prendre », raconte Sylvie Carrier. Cet Ă©tĂ©, la travailleuse sociale a eu l’idĂ©e de louer des chambres Ă  des Ă©tudiantes chez elle, Ă  Trois-RiviĂšres. Pendant des jours, le tĂ©lĂ©phone n’a pas arrĂȘtĂ© de sonner. Au bout du fil, des Ă©tudiants dĂ©sespĂ©rĂ©s de trouver un toit abordable – ou un toit tout court. PHOTO PHILIPPE BOIVIN, LA PRESSE Sylvie Carrier, rĂ©sidante de Trois-RiviĂšres qui hĂ©berge des Ă©tudiantes C’était triste de voir ça. Le problĂšme, c’est le manque de place. Et les prix, aussi. Sylvie Carrier Un peu partout au QuĂ©bec, le manque de logements Ă©tudiants est Ă  un point critique. Si bien que de nombreux acteurs du milieu rĂ©clament une stratĂ©gie nationale pour s’attaquer Ă  la crise. On entend chaque annĂ©e, mais de plus en plus, des histoires d’étudiants qui sont forcĂ©s d’habiter Ă  l’hĂŽtel ou sur un divan pendant des mois », constate Laurent Levesque, directeur gĂ©nĂ©ral et cofondateur de l’UnitĂ© de travail pour l’implantation de logement Ă©tudiant UTILE. PHOTO PHILIPPE BOIVIN, LA PRESSE L’UniversitĂ© du QuĂ©bec Ă  Trois-RiviĂšres À Trois-RiviĂšres, oĂč le taux d’inoccupation est infĂ©rieur Ă  1 %, c’est le scĂ©nario qu’on tente par tous les moyens d’éviter. Actuellement, c’est trĂšs difficile », confirme Catherine Therrien, directrice adjointe des services aux Ă©tudiants Ă  l’UniversitĂ© du QuĂ©bec Ă  Trois-RiviĂšres. Pour loger tout le monde, les universitĂ©s et les cĂ©geps doivent ĂȘtre crĂ©atifs. Et mettre en place des solutions de secours voir le second article ci-bas. PHOTO PHILIPPE BOIVIN, LA PRESSE Catherine Therrien, directrice adjointe des services aux Ă©tudiants Ă  l’UniversitĂ© du QuĂ©bec Ă  Trois-RiviĂšres C’est beaucoup de travail pour aller chercher une chambre par-ci, une chambre par-lĂ  [
]. On se doute que ce n’est pas suffisant pour loger tout le monde. Catherine Therrien, directrice adjointe des services aux Ă©tudiants Ă  l’UQTR Avec prĂšs de 25 % de sa population formĂ©e d’étudiants, Sherbrooke est aussi frappĂ©e par la crise. Cette annĂ©e, les logements partent plus vite que jamais », constate Marc-Antoine Bolduc, vice-prĂ©sident aux affaires externes de la FĂ©dĂ©ration Ă©tudiante de l’UniversitĂ© de Sherbrooke. PHOTO MORGANE CHOQUER, LA PRESSE Campus de l’UniversitĂ© Sherbrooke Un peu plus de 100 Ă©tudiants Ă©trangers Ă©taient toujours en quĂȘte d’un logement Ă  la fin de juillet, selon un sondage menĂ© par l’UniversitĂ©. Cette situation est l’une des plus stressantes que j’ai eues Ă  vivre », confie Izzy Pepper. Depuis juin, l’étudiante anglaise rĂ©pond Ă  toutes les annonces de logement Ă  Sherbrooke, sans succĂšs. Or, voilĂ  que le compte Ă  rebours de la rentrĂ©e est lancĂ©. Et Izzy doit songer Ă  un plan B. Je louerai un Airbnb si je ne trouve rien », lĂąche celle qui Ă©tudie en français langue seconde. Le mĂȘme scĂ©nario se joue aussi Ă  GaspĂ©, Ă  Chicoutimi, Ă  Rouyn-Noranda ou encore Ă  Rimouski. C’est trĂšs, trĂšs difficile de trouver quelque chose d’abordable ou de trouver quelque chose, point », constate Maya Labrosse, prĂ©sidente de la FĂ©dĂ©ration Ă©tudiante collĂ©giale du QuĂ©bec. Pas de place en rĂ©sidence Le manque de logements n’est pas le seul obstacle la flambĂ©e des prix des loyers aussi – en particulier Ă  MontrĂ©al. Les Ă©tudiants n’ont pas le choix de s’excentrer ou vont bien au-delĂ  du budget qu’ils auraient souhaitĂ© consacrer Ă  leur logement », remarque Laurent Levesque. PHOTO PHILIPPE BOIVIN, LA PRESSE Logements pour Ă©tudiants sur le campus de l’UniversitĂ© du QuĂ©bec Ă  Trois-RiviĂšres Et les rĂ©sidences Ă©tudiantes, qui ont l’avantage d’ĂȘtre trĂšs abordables, sont pleines Ă  craquer. À l’UniversitĂ© du QuĂ©bec Ă  Rimouski UQAR, prĂšs de 100 Ă©tudiants attendent une place en rĂ©sidence. PHOTO FOURNIE PAR JEAN-FRANÇOIS OUELLET Jean-François Ouellet, directeur des services Ă  la communautĂ© Ă©tudiante Ă  l’UQAR Ce qu’on entend, c’est que certains Ă©tudiants ne sont pas encore sĂ»rs de pouvoir procĂ©der Ă  leur inscription parce qu’ils n’ont pas Ă  ce jour trouvĂ© un logement. Jean-François Ouellet, directeur des services Ă  la communautĂ© Ă©tudiante Ă  l’UQAR Bon an, mal an, les rĂ©sidences du rĂ©seau de l’UniversitĂ© du QuĂ©bec rĂ©ussissaient Ă  accueillir tous les Ă©tudiants inscrits sur leurs listes d’attente avant la rentrĂ©e. Cette annĂ©e, on fait face Ă  une autre situation. La tendance, c’est que les listes d’attente stagnent », confirme Jean-SĂ©bastien Gohier, directeur des ressources matĂ©rielles et immobiliĂšres et du bureau de projets immobiliers Ă  l’UniversitĂ© du QuĂ©bec. PHOTO PHILIPPE BOIVIN, LA PRESSE Le pavillon des sciences du cĂ©gep Trois-RiviĂšres Au cĂ©gep de Trois-RiviĂšres, tous les Ă©tudiants sont logĂ©s jusqu’à prĂ©sent. Mais lĂ  aussi, les places en rĂ©sidence sont convoitĂ©es. PHOTO PHILIPPE BOIVIN, LA PRESSE Janie Trudel-Bellefeuille, coordonnatrice du bureau international du cĂ©gep de Trois-RiviĂšres Les Ă©tudiants restent plus longtemps en rĂ©sidence, parce que les coĂ»ts ont augmentĂ© et qu’il y a moins d’options. Ça libĂšre moins de places pour les nouveaux », remarque Janie Trudel-Bellefeuille, coordonnatrice du bureau international du cĂ©gep. Un enjeu d’équitĂ© » On a fait l’erreur au QuĂ©bec, dans les derniĂšres dĂ©cennies, d’oublier le logement Ă©tudiant », dĂ©plore Laurent Levesque. Et ceux qui Ă©copent, ce sont les Ă©tudiants, qui, souvent, n’ont pas le choix de quitter le domicile familial pour Ă©tudier, rappelle l’UTILE. D’oĂč l’urgence de s’attaquer au problĂšme de front. Et dĂšs maintenant. Il y a un enjeu d’équitĂ© d’accĂšs Ă  l’enseignement postsecondaire », plaide M. Levesque. CĂ©geps et universitĂ©s jouent de crĂ©ativitĂ© Le compte Ă  rebours de la rentrĂ©e est lancĂ©. Pour dĂ©nicher des logements, les universitĂ©s et les cĂ©geps doivent ĂȘtre crĂ©atifs. RĂ©sidences pour aĂźnĂ©s, monastĂšres, pensionnats l’UniversitĂ© du QuĂ©bec Ă  Trois-RiviĂšres n’exclut aucune idĂ©e pour trouver un toit Ă  ses Ă©tudiants. PHOTO PHILIPPE BOIVIN, LA PRESSE Le centre-ville de Trois-RiviĂšres Il faut ĂȘtre original dans nos dĂ©marches », fait valoir Jean-François Hinse, responsable des relations avec les mĂ©dias de l’universitĂ©. Aucune entente n’a Ă©tĂ© conclue pour l’instant, mais des nĂ©gociations sont en cours, prĂ©cise-t-il. On est Ă  la recherche de volume. Mais il faut que les installations rĂ©pondent aux besoins des Ă©tudiants. On se fait un devoir d’aller visiter sur place », souligne M. Hinse. PHOTO PHILIPPE BOIVIN, LA PRESSE L’UniversitĂ© du QuĂ©bec Ă  Trois-RiviĂšres Au CĂ©gep de la GaspĂ©sie et des Îles, une entente de trois ans a Ă©tĂ© conclue en juin pour loger des Ă©tudiants dans un hĂŽtel de Carleton-sur-Mer. Personne ne se retrouvera Ă  la rue, assure Marie-Claude DeschĂȘnes, porte-parole du Regroupement des cĂ©geps de rĂ©gions. On a de la place pour loger les Ă©tudiants. J’ai vu des solutions trĂšs crĂ©atives pour la rentrĂ©e des ententes avec des hĂŽtels, des familles d’accueil, des rĂ©sidences pour aĂźnĂ©s. Marie-Claude DeschĂȘnes, porte-parole du Regroupement des cĂ©geps de rĂ©gions Depuis plusieurs semaines, les universitĂ©s multiplient les appels Ă  la population pour hĂ©berger des Ă©tudiants ou encore tiennent Ă  jour des listes de logements disponibles. Des solutions viables Les hĂŽtels et les couvents peuvent dĂ©panner, mais il faut aussi des solutions viables, plaident des acteurs du milieu. Et une stratĂ©gie nationale pour s’attaquer Ă  la crise. L’urgence est d’autant plus grande qu’une vague de dizaines de milliers d’élĂšves supplĂ©mentaires est attendue sur les bancs des cĂ©geps d’ici 2029. Pour dĂ©sengorger les cĂ©geps des grands centres, qui seront les plus affectĂ©s, QuĂ©bec veut attirer 5000 Ă©lĂšves en rĂ©gion d’ici 5 ans par l’entremise de son programme de mobilitĂ© Ă©tudiante Parcours. L’étranglement, on le vit mĂȘme sans la mise en place de ce programme-lĂ , qui est d’ailleurs une excellente nouvelle », affirme Jean-François Ouellet, directeur des services Ă  la communautĂ© Ă©tudiante Ă  l’UniversitĂ© du QuĂ©bec Ă  Rimouski. Pour rĂ©pondre Ă  la future demande, l’établissement espĂšre obtenir le feu vert du QuĂ©bec pour le financement d’un projet d’immeuble qui pourrait loger 100 Ă©tudiants. Bernard Tremblay, prĂ©sident de la FĂ©dĂ©ration des cĂ©geps, est du mĂȘme avis. Plusieurs cĂ©geps ont interpellĂ© le gouvernement pour dire qu’il faut bĂątir de nouvelles rĂ©sidences. Bernard Tremblay, prĂ©sident de la FĂ©dĂ©ration des cĂ©geps Au ministĂšre de l’Enseignement supĂ©rieur, 58,9 millions de dollars ont Ă©tĂ© rĂ©servĂ©s Ă  la construction, au rĂ©amĂ©nagement et Ă  la rĂ©novation de rĂ©sidences Ă©tudiantes pour les cĂ©geps de rĂ©gion, indique par courriel une porte-parole, Esther Chouinard. Les cĂ©geps de la GaspĂ©sie et des Îles, de l’Abitibi-TĂ©miscamingue, de La PocatiĂšre et le collĂšge d’Alma sont notamment concernĂ©s par des projets de construction ou d’acquisition de rĂ©sidences Ă©tudiantes, ajoute-t-elle. Drapeau rouge » L’organisme UTILE mise plutĂŽt sur la construction de logements spĂ©cifiquement destinĂ©s aux Ă©tudiants. Son plus rĂ©cent projet, La Rose des vents, situĂ© dans l’écoquartier Angus, a accueilli cet Ă©tĂ© ses premiers rĂ©sidants. À l’aube des Ă©lections provinciales, l’organisme demande aux partis de s’engager Ă  construire au moins 15 000 chambres Ă©tudiantes d’ici 10 ans, ce qui reprĂ©sente 5 % de la demande », illustre Élise Tanguay, directrice des affaires publiques de l’UTILE. Ça serait un premier pas pour dĂ©montrer qu’il y a un drapeau rouge qui s’est levĂ©. Il faut prendre ce problĂšme Ă  bras le corps, parce qu’on s’en va droit dans le mur. En fait, on est dans le mur », conclut-elle. En savoir plus 590 $ Loyer pour un studio tout inclus en rĂ©sidence Ă©tudiante Ă  l’UniversitĂ© du QuĂ©bec Ă  MontrĂ©al Source UniversitĂ© du QuĂ©bec Ă  MontrĂ©al 1140 $ Loyer moyen d’un logement disponible Ă  la location Ă  MontrĂ©al en 2021 Source CommunautĂ© mĂ©tropolitaine de MontrĂ©al

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